Origine des BUJOLD

D’après des recherches d’ADN, l’origine des Bujold se situe dans le territoire de la France démontrer à droite. La région en vert pale est la région ou on retrouve un plus grand nombre de gens qui partage des liens communs d’ADN avec celle des Bujold.

Les régions vertes foncer indique des régions ou l’ADN des Bujold est plus faible.  Ces régions pourraient être ou des Bujold se sont établis mais leur concentration est plus faible. Certaine des régions pourrait aussi indiquer des liens avec des ancêtres tel que les épouse des Bujold.  Ils peuvent aussi indiquer des régions ou nos ancêtres sont d’origine mais ont quitter pour se concentrer dans la région vert pale. (cliquez sur l’image pour agrandir )

Ces régions semblent être en accord avec nos recherches.  Saint Ciers du Taillon (1) est l’endroit où est née nôtre ancêtre.  On retrouve plusieurs familles anciennes  des Bugeaud dans toute ces régions. La régions de La Rochelle (2) est un lieux ou ont retrouve des Bujold qui sont venue au Canada mais ne se sont pas établis.

Les documents disponible pour la période de 1600-1700 démontre que les Bujold étaient principalement dans le sud-ouest du pays dans la région précédemment connue comme le Périgord. (voir image à droite)

Les documents historiques qui nous sont disponible indiquant ou les Bujold était principalement établie durant cette période révèle:

  • Lanouaille, Dordogne France : 1,274 individue
  • Saint-Ciers du Taillon, Charente-Maritime France : 115 individue
  • Angoisse, Dordogne, France : 67 individue
  • Charron, Charente-Maritime, France : 45 individue
  • Sarlande, Dordogne, France : 40 individue
  • Bois, Charente-Maritime, France : 39 individue
  • Saint-Dizant-Du-Gua, Charente-Maritime, France : 35 individue
  • Périgueux, Dordogne, France : 34 individue
  • Plassac, Charente-Maritime, France : 25 individue
  • Dussac, Dordogne, France : 22 individue
  • Vieillevigne, Loire-Atlantique, France : 19 individue
  • Saint-Fort-sur-Gironde, Charente-Maritime, France : 15 individue
  • Saint-Médard-d’Excideuil, Dordogne, France : 15 individue
  • Saint-André-Treize-Voies, Vendée, France : 13 individue
  • Excideuil, Dordogne, France : 11 individue

Régions générale ou les recherche de ADN semble Indiquer des ancêtres

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Origine Bujold

Régions ou habitait les Bujold (1600-1700) en France. Les régions son indiquer en blue pale avec les régions blue, vert et orange indiquant un plus grand nombre d’individue dans ces régions. (Source: Geneanet)

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Histoire

Histoire de la région est particulièrement intéressante.  Les premiers résidents de la région remontent plus de 33,000 ans (L’abri Cro-Magnon) (3) et 17,000  ans dans les grottes de Lascaux (4) ou ont peux retrouver des superbes galeries de peinture de l’âge des pierres.

La Gaule

De leur patrie dans ce que nous appelons maintenant l’Autriche, les tribus celtiques s’étaient répandues dans la majeure partie de l’Europe occidentale, y compris la région que nous appelons maintenant la France,par 450 av. J.-C.

Les Romains appelaient la région Gaule. Les habitants celtes de la Gaule étaient des agriculteurs, des métallurgistes qualifiés et des commerçants qui appartenaient à des tribus gouvernées par un conseil d’anciens avec un roi ou un dirigeant élu et une classe sacerdotale connue sous le nom de druides. Beaucoup vivaient dans de grands villages fortifiés que les Romains appelaient oppidum.

Ces habitants étaient de redoutables guerriers, que les Romains et d’autres puissances militaires engageaient souvent comme mercenaires – quand ils n’étaient pas occupés à les combattre eux-mêmes.

Caesar et la Gaule

Entre 58 et 50 av. J.-C., les Romains envahirent la Gaule, où le conflit avec les tribus celtiques était un problème chronique. Le chef celte Vercingétorix a dirigé une union de tribus contre les envahisseurs romains, mais a été vaincu à la bataille d’Alésia en 52 av. J.-C. par Jules César.

Rome a annexé la Gaule à la République, et les Gaulois se sont mêlés aux Romains pour former une culture gallo-romaine qui a adopté et adapté la langue, les coutumes, le gouvernement et la religion de l’empire. De nombreux généraux, et même empereurs, sont nés en Gaule ou sont issus de familles gauloises. Le « latin vulgaire » (discours commun) des Romains est devenu la base du Français.

Les Francs

Les Francs ont conquis le nord de la Gaule en 486 après JC. Au cours de près de quatre siècles, une série de rois francs, de Clovis à Charlemagne, ont étendu le contrôle franc sur une grande partie de l’Europe occidentale, y compris presque toute la France et la plupart de l’Allemagne, de l’Autriche et du nord de l’Italie d’aujourd’hui.

En 843, le traité de Verdun divise l’empire de Charlemagne entre trois de ses petits-fils. Charles le Chauve a obtenu la partie occidentale, la Francie occidentale, qui, avec certaines parties de l’empire du milieu, deviendrait la France.

L’influence romaine avait déjà conduit au développement de l’ancienne Français. La conversion de Clovis au christianisme et le couronnement de Charlemagne « empereur des Romains » par le pape Léon III ont cimenté la place centrale de l’Église catholique dans l’histoire et de la culture Francaise pendant plus d’un millénaire.

Le nom de France n’est employé de façon officielle qu’à partir de 1190 environ, quand la chancellerie du roi Philippe Auguste commence à employer le terme de rex Franciæ (roi de France)1 à la place de rex Francorum (roi des Francs) pour désigner le souverain.

Les guerres de religion

Les règnes des trois fils d’Henri II, François II (1559-1560), Charles IX (1560-1574) et Henri III (1574-1589) sont marqués par les guerres de religion entre protestants et catholiques. La Réforme s’est progressivement répandue en France à partir de 1520, au point qu’en 1562, date du début des huit guerres de religion, un dixième de la population était devenue protestante. Cette guerre civile est marquée par le massacre de la Saint-Barthélemy, le 24 août 1572 et les jours suivants, où les protestants sont attaqués dans leurs propres maisons, faisant plusieurs milliers de victimes à Paris et en province. La guerre civile est aussi une grande menace pour l’unité territoriale. Les protestants et les ligueurs font des promesses aux souverains étrangers pour obtenir leur aide.

Henri IV (1553-1610) consolide et met un terme aux Guerres de religion en promulguant l’édit de Nantes de 1598. Aidé de son ministre Sully, Henri IV tâche de remettre sur pied le royaume durement éprouvé par les guerres de religion. Lorsque Henri IV est assassiné par Ravaillac, un catholique fanatique en 1610, il lègue à son fils Louis XIII un royaume considérablement renforcé.

À partir de 1624, il règne en étroite collaboration avec son principal ministre, le cardinal de Richelieu qu’il soutient contre les intrigues des nobles, furieux d’être écartés du pouvoir. En 1631 il crée l’Académie Française qui enforce le Français du Roi, ce qui cause les changements du Français parler et écrit. Il mène une politique de domestication des grands seigneurs du royaume (affaire du comte de Chalais en 1626), de durcissement envers les protestants à qui il parvient à retirer les places-fortes que l’édit de Nantes leur octroyait.

Il installe des intendants de justice, police et finance dans les provinces. Contrairement aux officiers ceux-ci sont des commissaires révocables. Ils sont indispensables dans les régions frontières ou occupées par les Français. Ils y assurent l’ordre en luttant contre les pillages des soldats français et en s’assurant de la fidélité des sujets, particulièrement des nobles et des villes. Le roi accentue la centralisation en favorisant l’atelier de frappe monétaire de Paris aux dépens de ceux de provinces.

Dès 1635, Louis XIII et le cardinal de Richelieu s’engagent dans la guerre de Trente Ans auprès des princes allemands protestants pour réduire la puissance de la dynastie des Habsbourg, d’Espagne, la première puissance européenne à cette époque et de ceux d’Autriche qui sont à la tête du Saint-Empire romain germanique. Pour affaiblir les Habsbourg, les Français occupent des places fortes et s’assurent des passages qui les relient à leurs alliés, en Alsace, en Lorraine et dans le Piémont. L’augmentation considérable de la pression fiscale, nécessitée par la guerre, provoque de nombreux soulèvements populaires : en 1636-1637 celui des croquants de Saintonge-Périgord (région des Bujold).

Louis XIV  (Roi-Soleil) a quatre ans et demi quand son père meurt en 1643. Sa mère Anne d’Autriche assure la régence avec le cardinal Mazarin. Jusqu’en 1661, date de sa mort, c’est ce dernier qui gouverne effectivement, même après la majorité de Louis XIV. Il poursuit l’effort de guerre entamé par Richelieu. Les troupes françaises remportent des victoires décisives qui permettent de mettre fin à la guerre de Trente Ans (1618-1648).

Le règne de Louis XIV marque une centralisation extrême du pouvoir royal. Dès le début de son règne personnel (1661-1715), Louis XIV amorce le redressement de l’autorité royale. Les gouverneurs des provinces, issus de la haute noblesse n’ont plus d’armée à leur disposition et doivent résider à la cour, ce qui rend plus difficile le clientélisme.

En 1665, Louis XIV interdit aux parlements de délibérer sur les édits et leur ordonne de les enregistrer sans vote. Les états provinciaux de Normandie, Périgord, Auvergne, Rouergue, Guyenne et Dauphiné disparaissent. Avec Colbert, il entreprend de réformer la justice et fait rédiger toute une série d’ordonnances ou codes applicables dans tout le royaume. N’étant pas sûr de la fidélité des officiers propriétaires de charges héréditaires, il confie leurs fonctions à des commissaires révocables. Ce procédé finit par contraindre les officiers à l’obéissance. La noblesse perd tout pouvoir politique. Elle est domestiquée à Versailles où son plus grand souci est de se faire remarquer du roi. En 1681 il crée les Dragonnade (1681-1687) qui force la conversion des Protestant (voir Dragonnade). En 1684, la dévotion s’installe en force à la cour, qui a emménagé à Versailles depuis 1682.

En 1685, la révocation de l’édit de Nantes, qui octroyait la liberté religieuse aux protestants français, redore le prestige de Louis XIV vis-à-vis des princes catholiques et lui restitue « sa place parmi les grands chefs de la chrétienté ».   Les Dragonnade prenne de l’ampleur et deviennent plus cruel. C’est durant ces année de Dragonnade que note ancêtre Bujold quitte la France pour l’Acadie.

La révocation interdisait les services protestants, exigeait l’éducation des enfants en tant que catholiques et interdisait l’émigration. Elle s’avéra désastreuse pour les huguenots et coûteuse pour la France. Elle a précipité l’effusion de sang civil, ruiné le commerce et entraîné la fuite illégale du pays de centaines de milliers de protestants, dont beaucoup étaient des intellectuels, des médecins et des chefs d’entreprise.

Les huguenots qui sont restés en France ont ensuite été convertis de force au catholicisme romain et ont été appelés « nouveaux convertis ».

C’est durant ces année difficile que notre ancêtre part pour l’Acadie.  En 1705 ses frères et sa mère n’apparait pas dans le testament de son père. Ce qui indique que par cette date ils sont tous probablement décédé. Cause naturelle ou autres? Ou est-ce que ses frères ont changé leur nom une pratique commune du temps pour paraitre catholique, migrée ailleurs (ceci n’expliquerait pas pourquoi il n’apparaisse pas dans le testament) ou sont tué comme tant d’autres durant les Dragonnades.

Régions ou habitait les Bujold (1600-1700) en France. Les régions son indiquer en bleu avec les régions en vert et orange indiquant un plus grand nombre d’individue dans ces régions. 

Source: Geneanet